Transformations invisibles

Transformations invisibles
6 août au 4 septembre 2022

Sept postulants à la maitrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM se réuniront à La Chapelle du 6 août au 4 septembre 2022 sous le thème Transformations invisibles.

Sculptures, peintures, collages, livre d’artiste et photographies viendront soutenir la recherche d’identité et du genre. On y parlera de métamorphose et de l’art comme garde-fou à la santé mentale et comme support à l’écoanxiété.

En effet, 7 artistes ont la volonté d’habiter le monde, de l’assimiler et de le transformer grâce à de nouvelles propositions esthétiques. C’est avec des pratiques différentes, des médias variés, la récupération de matériaux non nobles et parfois même avec une esthétique kitch, qu’ils veulent redéfinir l’art contemporain.

Andrea Calderon-Stephens, Morgane Clément-Gagnon, Delphine Carufel, Gopesa Paquette, Archie S. Reid, Samuelle Rousseau-Lamontagne et Suzanne Vié, ne forment ni un groupe, ni un collectif, mais ensemble, ces artistes veulent capter le regard sur ce qui trop souvent nous échappe.

Lisez l’article de La Voix de l’Est à propos de l’exposition ici

Oeuvres présentées

Curriculum vitae

ANDREA CALADERON-STEPHENS

Ville de Mexico, MX- Montréal, QC

andreacstephens91@gmail.com

IG: andreac.stephens

FORMATION

Études universitaires

En cours Maîtrise en Arts Visuels et Médiatiques concentration création, Université du Québec à Montréal, Canada

2018 Licence en Littérature Dramatique et Théâtre concentration mise en scène, Universidad Nacional Autónoma de México [Université Nationale Autonome du Mexique].

2017 Échange d’un an à l’Université de Montréal, bac. en études cinématographiques, Canada

Ateliers

2021 Le genre dans le système, Association Créative Transversale, Mexique 2020-2005 Nombreux ateliers de biodanza, danse arabe et tango, Mexique-Montréal 2018 Composition photographique, Institut IMAGO, Mexique

2018 Éclairage en photographie, Institut IMAGO, Mexique

2018 Photo-peinture, École d’Art Saúl Serrano, Mexique 2017 Photographie, Institut IMAGO, Mexique

PHOTOGRAPHIE

Expositions Collectives

2019 « Bríos Capturados », Centre Culturel UnTeatro [Centre Culturel UnThéâtre],

exposition sur la photographie d’arts du spectacle, Mexique

2019-2018 Installation interactive sur la démocratie « Y Ágora qué ? » avec la Compagnie TeatroEntre2, salle d’exposition du Museo Universitario del Chopo [Musée Universitaire du Chopo] et de la galerie Galera, Mexique

Projets multidisciplinaires (collaborations)

2020 « Cuerpas Cabaret », colectif Cuerpas Cabaret, projet appuyé par TeatroUNAM qui cherche sensibiliser à propos de la grossephobie, Mexique.

2020 « Un termómetro de lo Real », livre photographique sur le processus de création collectif fait lors de la Résidence Artistique Escenarios de lo Real. Projeté au théâtre La Gruta du Centro Cultural Helénico, Mexique.

2019 « Micro-Abyecciones », Compagnie Cro-Magnon, séries de performances dans

l’espace public. Production d’un livre photographique et d’une campagne de publicité pour remettre en question des stéréotypes sur la masculinité, Mexique. Projet appuyé par la Fondation Prince Claus de Hollande.

2019. Enregistrement photographique de la création du Poème de Personne dans les zones marginales touchées par le tremblement du 17 septembre 2017, Xochimilco, Mexique.

2019 Enregistrement photographique du Homenaje Desobediente [Hommage Désobeissant], création de l’artiste visuel espagnole Paula Valero Comin., Mexique. Photographies exposées au Centre de l’Images dans le cadre d’un Festival Féministe d’arts visuels et publiées dans le magazine Sycorax de l’Équateur.

2019 Enregistrement photographique de la pièce de théâtre Ganou Galá de la compagnie Motus Théâtre de Montréal (en tournée au Méxique). Photographies publiés dans le livre du scénario de la pièce.

Documentation photographique

Enregistrement photographique de pièces de théâtre, Mexique Réalisation de portraits photographiques, Mexique- Montréal.

Gratitude Fest, Festival de yoga et de méditation, Mexique

Watson’s Fest, Festival de musique électronique et de guérison, Mexique Festival de Théâtre Classique au Mexique, Mexique

Congrès de la Faculté de Philosophie et Lettres de la UNAM, Mexique.

Service social en tant que photographe du CITRU au département de documentation (Centre de recherche sur le théâtre Rodolfo Usigli), Mexique

RÉSIDENCE ARTISTIQUE

2020-2019 Escenarios de lo Real [Les scènes du réel], Centro Cultural Helénico, Mexique

BOURSES

2017-2016 Bourse UNAM de mobilité couvrant les frais scolaires et de manutention pour faire un échange à l’Université de Montréal.

2020 Bénéfice du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement Supérieur du Québec pour être exemptée des frais majorés pour une étudiante étrangère à la maîtrise.

PUBLICATION

2017 « Pour une pédagogie affectif au théâtre », LA BARRACA, revue d’arts du spectacle, Mexique


DELPHINE CARUFEL

Delphine Kim Thériault de Carufel

delphine843@gmail.com – carufelart.com – @carufelart

Éducation

2020- Étudiante Maitrise Université du Québec à Montréal (UQAM), Arts visuels et

médiatiques

2019 BAC Université du Québec à Montréal (UQAM), Arts visuels et médiatiques

2013 DEC Cegep Vieux Montréal, Arts plastiques

Expositions solos

2020 Projet de Maillage Intelligence Artificielle, Conseil québecois des Arts Médiatiques

CQAM, Montréal

2012 Something First, Local 514, Belgo, Montréal

2010 This time passed out, Cegep Marie-Victorin pavillon central, Montréal

2009 Pavillon de Sciencias medicas , Holguin, Cuba

Expositions collectives

2021 Art University show, Atlantic Gallery, 548 W 28th St #540, New York

2019 Epreuves d’etat, 201 Sainte-Catherine Est, UQAM, Montréal

2018 Change Agent, Patrick Mikhail Gallery, Montréal

2017 Art, Art Hellix Gallery, New York

2017 Human after all, Patrick Mikhail Gallery, Montréal

2017 Human, Galerie Popop, Belgo, Montréal

2016 Foreground, Galerie Popop, Belgo, Montréal

2014 Variation sur un theme, Musee des beaux-arts MSH, Mont-Saint-Hilaire

Collaborations

2016 Montreal Vue du Ciel, Alain Paiement, Aeroport de Montréal, photographie de mon

travail

Expériences professionnelles

2017 Assistante-artiste pour Stanley Fevrier

2015 Assistante-artiste pour Atelier Louis Boudreault

Encans

2011-2012 Iegor Auction, Montréal

Foires

2017 Art Fair, Miami

Collections

Martin Bundock

Cegep Marie Victorin

Nathalie Zakaib

Collections Prives

Presse

Canadian Art, Must see this week, 2017

Actualite UQAM, Sept étudiants exposent à New York, 2017

Baronmag, Foreground, 2016

Malik Shaheed, Foreground, 2016

Bourses

École des Arts Visuels et Médiatiques (UQAM)

Faculte des Arts de l’Université du Québec à Montréal (UQAM)

Bourse du Conseil québécois des arts médiatiques


MORGANE CLÉMENT-GAGNON

5232, 7e Avenue, Montréal (Québec) H1Y 2N3

morgane.clement.gagnon@gmail.com

www.morganecg.com

418-933-4936

FORMATION

2020 – 2022 : Maîtrise en arts visuels et médiatiques // Création, UQAM

2016 – 2017 : AEC en photographie professionnelle, Collège Marsan

2016 – 2017 : Microprogramme en connaissance des religions, Université Laval

2006 – 2009 : Baccalauréat spécialisé en philosophie, Université Laval

EXPOSITIONS INDIVIDUELLES

2019 – Ailleurs, Centre culturel Marie-Fitzbach, St-Georges-de-Beauce

2017 – Leonard Cohen: Rituels d’absence, Musée du Montréal juif, Montréal

EXPOSITIONS COLLECTIVES

2021 – Inter University Exhibition, UQAM x U of Connecticut, Atlantic Gallery, New York

2021 – Virtual Realism, Exposition en ligne via arthistorybabes.com, National Monument Press

2021 – 2e temps, CDEx, Montréal

2020 – Memory of Origin, with Beatrice Alvestad, Galleri Sagene Kunstsmie, Oslo, Norvège

2020 – MWCP Juried Exhibition, Midwest Center of Photography, Kansas, États-Unis

2019 – Nature’s captives, avec le collectif Trajectoires, GHAM & DAFE, Montréal

2019 – Sharing is caring, Praksis & BOA Gallery, Oslo, Norvège

2019 – Les entretemps, commissariat Gentiane La France, Espace F, Matane

2018 – Supplemental light, Galerie SIM, Reykjavik, Islande

2018 – Fragments familiers, Machine D.A., Montréal

2018 – Anticosti, Maison du développement durable, Montréal

Prix & bourses

2019 – LOJIQ : Bourse de mobilité, Action culturelle et artistique, résidence PRAKSIS

2018 – LOJIQ : Bourse de mobilité, Action culturelle et artistique, SIM Residency

2017 – Meilleur portfolio, AEC en photographie professionnelle

2017 – Meilleure moyenne, AEC en photographie professionnelle

2017 – Lauréate du 3e prix, Concours intercollégial de photo, présidé par Benoît Aquin

2006 – Bourse d’admission pour le Baccalauréat en philosophie

RÉSIDENCES & SYMPOSIUMS

2020 – Rucka Residency, Cēsis, Lettonie (annulée, Covid-19)

2020 – Résidence recherche / création / production, Centre SAGAMIE, Alma

2019 – Praksis : Now that’s what I call an artist’s residency!, Oslo, Norvège

2019 – De Construkt, Brooklyn, États-Unis (déclinée)

2018 – SIM Residency, Reykjavik, Islande

2018 – Symposium Arts & Rives de Lac-Etchemin, Lac-Etchemin

2018 – Artiste en résidence d’été, Galerie Angers

2018 – RurART, Cookshire-Eaton

2017 – Résidence Nomade, Île d’Anticosti

PUBLICATIONS

2020 – Exercices de décontamination, Inter no 136

2018 – Profanations, Artichaut Magazine

EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE

2019 – 2021 : Rédactrice, Orfé Design & Com

2016 – 2021 : Photographie, à mon compte

2009 – 2019 : Professeure de philosophie, Cégep de Lévis, Cégep de Matane


GOPESA PAQUETTE

Formation et perfectionnement

En cours

Maîtrise, Arts visuels et médiatiques, Université du Québec à Montréal

2018 Initiation à l’art sonore expérimental, Main Film

2017 Sérigraphie, Atelier circulaire

2013 Portrait photographique, Collège Marsan

2012 Portraiture composition, Collège Dawson

2011 Maîtrise, Anthropologie (des médias visuels), Université Laval

2007 Baccalauréat, Anthropologie, Université Laval

2001 DEC, Art et technologies des médias (option presse écrite), Cégep de Jonquière

Expositions Collectives

2022 Galerie La Chapelle, Bromont, du 4 août au 5 septembre 2022.

Habiter le monde, Arts Sutton, Sutton, du 2 juin au 8 juillet 2022.

2021 Shim Art Network Presents : UQAM MFA, Jill Krutik Fine Art, Mamaroneck, New York, 4 décembre 2021 au 5 janvier 2022.

2021 SHIM Eco : The Coral Reef Principle, Ursa Gallery, Bridgeport, Connecticut, du 2 octobre

2021 au 8 mars 2022. UCONN + UQAM, Atlantic Gallery, New York, 11 au 21 août.

2019 13, CDEx, Montréal, 12 au 16 décembre.

2017 Premiers temps, ma contribution à l’initiative Page blanche de L’Arrondissement de Rosemont-La-Petite-Patrie, programmation officielle du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, 5 octobre au 3 novembre.

2016 Projet Lumen, projet de sensibilisation à travers la création collaborative avec trois groupes d’étudiants collégiaux en situation de handicap provenant de trois cégep et une tournée d’exposition dans cinq cégeps entre le 4 octobre et le 1 décembre.

2014 Le nid du reste, (avec Jessica Abdelmoumene) Monte da Luz – O Progreso da Foz, Porto, Portugal, 18 au 23 décembre.

2011 Trajectoires, Le Sacrilège, Québec, 11 septembre au 1 octobre.

2010 U Sarajevu [À Sarajevo], invité à participer avec Marvin Jouno à l’exposition-événement

«Deux regards» au Loft 202, Bruxelles, Belgique, 19 août.

Gopesa Paquette 438-879-5395

gopesapaquette@gmail.com

gopesa.ca

Solos

2016 Quelques nouveaux développements, Centre d’art de Richmond, 3 novembre au 15 décembre. (annulé en octobre 2016 pour cause de fermeture extraordinaire du programme d’expositions)

2012 U Sarajevu, www.cedezlepassage.com : Espace virtuel d’exposition et de références en photographie pour la relève québécoise, 16 février au 15 mars.

2011 U Sarajevu [À Sarajevo], salle d’exposition du Pavillon Alphonse-Desjardins de l’Université Laval, Québec, 11 au 21 octobre.

Expériences professionnelles

Depuis 2019 Enseignant en adaptation scolaire, Centre de service scolaire Marguerite-Bourgeoys

2020-2021 Développeur et coordonateur du Projet Écran public, une correspondance artistique entre les aînés des Résidences Pélican et les jeunes de l’Oasis des enfants de Rosemont

2018-2020 Fondateur et coordonnateur des ateliers Hors Champ, visant le développement de la créativité et la découverte de la nature à travers la photographie

2017-2019 Mentor artistique, Passeurs de rêves, un programme de mentorat culturel de Culture pour tous, Montréal. J’ai développé et animé des ateliers de création collective d’oeuvres photographiques avec des jeunes en difficulté d’apprentissage du secondaire.

Depuis 2011 Photographe indépendant : Événements, portraits, corporatif, éditorial

2016 Coordonnateur des ateliers photographiques, Projet Lumen, Centre de recherche pour l’intégration scolaire et professionnelle des étudiants en situation de handicap. Développement et accompagnement d’un projet de médiation culturelle utilisant la création photographique des étudiants en situation de handicap comme outil de sensibilisation auprès de la population collégiale

2012 Enseignant dans le Programme Exploration et Intégration Inuit, Cégep Marie-Victorin, Montréal

2010 Enseignant dans le Programme Coopérant Volontaire, Cégep de Rivière-du-Loup, Rivière-du-Loup

2009-2010 Chargé du cours « Choc culturel à l’échelle internationale » au Département d’anthropologie de l’Université Laval, Québec

Publications/conférences/comités à paraître

« From the Lens to the Mind’s Eye: Mobilizing Classical Theory to Legitimise Contemporary

Photo-practice » in Reframe, Alkazi Foundation for the Arts, New Delhi, Inde

2021 « Gopesa X Gopesa : I Am All The Textile I Am » In Situ 4, Susak Press, Shim Art Network

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SAMUELLE ROUSSEAU-LAMONTAGNE

leverbeconcentrique@gmail.com

514 994-6974
3414 rue Cartier, Montréal, QC H2K 4G2

Formations

2020-2021 Candidate à la maîtrise en arts visuels et médiatiques. UQAM, Montréal.

2014-2019 Baccalauréat en création des arts visuels et médiatiques. UQAM, Montréal.

2014-2018 Baccalauréat en enseignement des arts visuels et médiatiques. UQAM, Montréal.

2001-2003 Études collégiales en Arts et lettres, profil littérature. Cégep François-Xavier-Garneau, Québec.

Exposition individuelle

2015 Exposition de tableaux au Café Le Placard, Montréal.

Exposition collective

Août 2021 Exposition Habiter le monde à Atlantic Gallery, New-York.

Mars 2021 Exposition Deux temps, quinze mouvements au CDEx, UQAM, Montréal.

2019 Exposition Réfractions au 407 rue de Maisonneuve Est, UQAM, Montréal.

2018 Exposition Peinture fraîche et nouvelle construction à la galerie Art Mûr, Montréal.

2018 Exposition Passage à découvert à la galerie de l’UQAM, Montréal.

2014 Exposition En nuestros carazones, Frida à la galerie Repaire des 100 talents, Montréal.

Bourses

2018 Récipiendaire de la bourse Charest-Wallot.

Événements

2014 Cirque Zeboma : soirée événementielle de performances multidisciplinaires. Rôle : aide à l’organisation de l’évènement, présentation d’une performance.

2013 Conception de masques pour court métrage indépendant présenté au microfestival de Trois-Rivière. Lien : http://vimeo.com/78763356

2012 Vente de bande dessinée et fanzine à la foire Expozine, Montréal.

Collections

2018 Vente d’oeuvre lors de l’exposition Peinture fraîche et nouvelle construction.

2012-2014 Vente de tableaux à des particuliers via un blogue personnel.

Stages et expériences de travail

2016-2021 Assistante aux recherches de Christine Faucher portant sur la culture des jeunes et son inclusion en classe d’arts, UQAM, Montréal.
Tâches : transcription de verbatims, collecte et analyse de données qualitatives avec le logiciel Nvivo, aide à la rédaction d’un article.

2018 Commissariat de l’exposition d’un jour Techniciens, humains, artistes, UQAM, Montréal.
Tâches : Appel aux artistes, rédaction de textes sur les artistes, collecte et montage d’entrevues audio, publicité, installation.

2014-2018 Stages d’enseignement I, II, III dans des écoles primaire et secondaire au baccalauréat en enseignement des arts visuels et médiatiques, UQAM, Montréal


ARCHIE S. REID

FORMATION ACADÉMIQUE

2019-2022 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL _ Maîtrise – Arts visuels et médiatiques – recherche-création

2019 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL _ Baccalauréat – Arts visuels et médiatiques – création

PERFORMANCES

2020 MODULAR MOLTING, Les Rencontres interdisciplinaires d’Hexagram, En ligne, Montréal

2019 LE CORPS À L’ÈRE MÉTA-NUMÉRIQUE, La Galerie l’oeuvre de l’autre – UQAC, Chicoutimi

2018 ELECTRICITY MATTERS, Studio XX, sous la direction de Nataliya Petkova, Montréal

2016 POLYMORPHIQUE, Médiathèque littéraire Gaëtan Dostie, Montréal

2015 DÉVISAGÉ, Médiathèque littéraire Gaëtan Dostie, Montréal

2015 HOMMAGE À ARMAND VAILLANCOURT, Maison des enfants Marie-Rose, Beauharnois

EXPOSITIONS DE GROUPE

2019 23, CDEX, Montréal

2019 PASSAGE À DÉCOUVERT, La Galerie de l’UQAM, Montréal

2019 MITOSES, Les ateliers Bellerive, Montréal

2017 LORSQU’IL FAIT MAUVAIS, Ateliers Jean-Brillant, Montréal

2016 TOUSKI S’EXPOSE, Coop Café Touski, Montréal

2012 REALISMO MÁGICO, Musée des beaux-arts de Montréal

2012 REALISMO MÁGICO, Romeriás de Mayo à Holguín, Cuba

COMMUNICATIONS

2021 REPRISE DE VUE, Coming In(to) Your Own Skin, Centre George Pompidou, Paris

2020 MODULAR MOLTING, International Symposium for Electronic Arts (ISEA), Montréal

BOURSES

2020 UQAM, Bourse institutionelle d’excellence

2020 MÉDIANE, Chaire de recherche du Canada en arts + écotechnologies de pratiques + changements climatiques, Bourse de recherche-création


SUZANNE VIÉ

Formations

2020-    Candidate à la maîtrise Arts visuels et médiatiques, UQAM, Montréal, QC.

2017     Photo, L’Académie de photo, Montréal, QC.

2012     Gravure sur pierre, Atelier Circulaire, Montréal, QC.

2006     Sculpture avec René Rovellotti, St-Chamas, FR.

2002-2006   Ateliers d’écriture. Aleph écriture, Paris, FR.

2002-2006   Peinture acrylique avec Laurence Jannest, Carrousel du Louvre, Paris, FR.

1985     Stage interuniversitaire, ENSCI -Les Ateliers, Paris, FR.    

1984     Baccalauréat en Design industriel, Université de Montréal, Montréal, QC.

Exposition individuelle

2016    Temps Nord, Galerie Arts Plus, Sutton, QC.

Exposition collective

2021   Art University show, Atlantic Gallery, 548 W 28th St #540, New York

2021   Deux temps, quinze mouvements, Cedex, UQAM. Montréal, QC.

2019   Artistes de la galerie, Galerie Arts Plus, Sutton, QC.

2018   Artistes de la galerie, Galerie Arts Plus, Sutton, QC.

2016   Musée à ciel ouvert de Saint-Lambert, QC.

2012-2017   Tour des Arts, Galerie Art Sutton QC.

2014   Exposition: Collectif des membres Arts Sutton, Sutton, QC.

2014   Multiples, Espace Création Dominique Payette, Saint-Lambert, QC.

2013   Salon d’Automne, MBA de Mont Saint-Hilaire, QC.

2012   Arts en commun, Espace Création Dominique Payette, Saint-Lambert, QC.

2011   Les petits formats s’emballent, Espace Création, Saint-Lambert, QC.

2010-2011   Foire d’arts contemporain de Saint-Lambert, QC.

2002-2006   Finissage. Carrousel du Louvre, Paris, FR

Expériences professionnelles et bénévoles

2016   Décors ballet Casse-Noisette, Sutton, QC.

2015-2016    Membre du CA, responsable du comité artistique, Arts Sutton, QC.

2013-2015    Cours de peinture acrylique, Espace Blanc, Bromont, QC.

2012-2017    Membre du Tour des Arts, Sutton, QC.

1986-1988   E.N.S.C.I, Responsable des projets et atelier d’initiation et séminaires de l’école   d’été.

1985    U de M, Chargée de cours : Rythme, symétrie et ornementation pour Alain Findelli.

Prix

2012   Exposition l’absurde, Musée des beaux-arts de Mont Saint-Hilaire, Prix d’excellence.

Œuvre publique

2016   Musée à ciel ouvert, Ville de St-Lambert, QC.

Participation à des jury

2016   Programmation Galerie arts Sutton, Sutton, QC.

2015-2016   Sélection membres du Tour des Arts, Sutton, QC.

Encans

2014   Les Impatients, Montréal, QC.

2016-2019   Les Impatients Rive-Sud, Saint-Lambert, QC.

Collections

Collections privées :  au Canada, États-Unis, R.-U., France, Suisse, Norvège

Démarche artistique

ANDREA CALADERON-STEPHENS

NOMMER ce qui est difficile à voir. entrer en DIALOGUE pour produire.

observer pour IMAGINER.

être AGENTE de mon identité en devenir.

apprendre à REGARDER au-delà des normes.

Parler de ma marche artistique, c’est évoquer ma quête pour m’imaginer moi-même et mes relations affectives en dehors des attentes répressives qui m’ont été léguées. Je perçois l’art comme un médium pour entrer en dialogue avec mes propres monstres habités par la peur et la douleur, pour ainsi tenter de me libérer du pouvoir qu’ils ont sur ma puissance d’agir. Avec chaque projet artistique que j’entreprends, j’essaye d’aller puiser dans des blessures qui me rendent vulnérable. Je suis en constante observation de moimême pour voir estceque ma voix se craque et où estceque j’ai du mal à articuler ce qui me trouble. Je vais à la recherche de mes incohérences pour essayer de comprendre quelles sont mes motivations les plus profondes. Ma fragilité est la terre fertile de ma production artistique.

Je conçois l’art comme un territoire pour imaginer ensemble d’autres manières d’articuler et dhabiter le monde. Mes études en litrature, théâtre et cinéma, mon expérience comme danseuse et mon parcours professionnel en photographie me permettent de développer une pratique multidisciplinaire pour aborder les problématiques qui me hantent. Je crois fortement à la dialectique entre l’individu et la collectivité. Savoir que mon identité est traversée par mon contexte, m’incite à creuser dans l’intime pour aller à la rencontre d’autrui. Le fait dêtre une femme mexicaine bisexuelle blanche de classe moyenne influence mon discours et prédétermine à un certain niveau ma vision. Ma recherche en arts est motivée par un besoin d’élargir ma compréhension du monde.

La fascination que j’éprouve face au cinéma expérimental d’avant-garde, notamment avec les films de Maya Daren et Stan Brakhage, me pousse à travailler avec l’image cinématographique pour remettre en question ma perception et entrer en contact avec mon inconscient. En regardant leurs films, j’ai compris que ma caméra est un appareil pour observer mon environnement tout en affirmant ma capacité poïétique. C’est pourquoi j’utilise la photographie pour poser un regard sensible et curieux sur mon entourage et partager la réflexion qui émerge suite à cette rencontre.


DELPHINE CARUFEL

Née femme, lesbienne et souffrant de trouble psychotique, mon anxiété majeure a toujours cachée ma sexualité. Je me suis toujours sentie marginale par mes choix de vie et mes désirs. Ayant vécue longtemps en marge et n’ayant pas complètement développé mon autonomie, j’ai toujours eu un besoin criant de faire valoir mes droits et ceux des autres. J’ai choisi d’être artiste car les artistes voient simplement les choses sous un angle différent. Je voulais avoir cette perception qui se démarque de la vision de la normalité. Je voulais cette conception qui justifie pourquoi l’on existe, pourquoi l’on considère le monde beau. Le plus beau de ceci est en partie, selon moi, d’exister en tant qu’être, de se définir comme l’on est peu importe son genre ou ses préférences amoureuses. C’est pour cette raison que j’ai décidé d’explorer la fabrication d’oeuvres qui dénotent de la liberté des petites joies de vivre en tant qu’individu. Je cherche à créer des oeuvres qui sont singulières dans leurs existences et qui génèrent des créatures et des êtres uniques par l’agencement des accessoires pour les construire. Oui, certes l’on peut voir l’influence de l’artiste David Altmejd à travers mes oeuvres mais je m’en distingue par la volonté de créer des oeuvres qui évoquent le désir d’exister pleinement et de célébrer la vie. Je fais une étude esthétique de l’être par le biais du moulage, du façonnage et des nouvelles technologies. M’inspirant de l’humain en prélevant empreinte sur corps et en tirant des copies en silicone, je construis des êtres synthétiques et imaginaires qui s’inspirent de la dissociation des codes normatifs de la société.

Prenant soin des marginalisés, je revendique de les intégrer en société et de justifier leurs existences en ayant une démarche qui crée des sculptures distinctes


MORGANE CLÉMENT-GAGNON

Informée par mon passé académique en philosophie, j’utilise la photographie comme outil d’auto-représentation afin de créer des essais visuels qui questionnent mon identité de femme artiste-philosophe, dans ses oppressions et ses privilèges. Mon travail combine des références classiques de la peinture aux outils techniques de l’ère numérique, et explore les questionnements entourant la représentation des femmes au travers de l’histoire occidentale. Par une pratique de l’autoportrait, j’aborde ces interrogations identitaires sérieuses avec légèreté et humour. Mon esthétique kitsch est un outil de séduction et d’attraction du regard; elle laisse transparaître la complexité des enjeux entourant la compréhension de mon identité. Le rendu coloré, exagéré et saturé de mes images devient un marqueur d’ironie qui me permet de pointer les tensions avec subtilité et doute, sans réponse militante ni définitive. C’est pourquoi je nomme mes photographies des essais visuels. L’espace créé par l’image devient non pas un lieu d’affirmation où une position politique est clairement revendiqué, mais un lieu de réflexion où je me laisse le droit d’essayer, de tenter, où la co-existence d’une thèse et d’une antithèse est possible. Si comme plusieurs hommes intellectuels blancs le disent, et que la pensée n’a pas de genre… Quand va-t-on pouvoir séparer les femmes de leurs oeuvres? Comment comprendre ce qui est de la misogynie intériorisée et ce qui tient de mes choix personnels? Cette tension devient un lieu d’exploration de ma confusion entourant le projet de définir mon identité dans une société en pleine effervescence sur l’agentivité du genre mais dont l’héritage intellectuel, visuel et mythologique provenant du regard masculin continue d’être la norme.


GOPESA PAQUETTE

Je répands un peu de beauté dans le monde à travers ma photographie, l’enseignement de l’art et en produit des œuvres qui pour cent des fenêtres dans les murs. Après des études de deuxième cycle en anthropologie culturelle, j’ai cumulé l’enseignement, la recherche, le journalisme et la photographie. Aujourd’hui, je me concentre sur la photographie et l’enseignement de l’art pour répandre un peu plus de beauté dans le monde.

J’aide les gens à apporter de la beauté dans leur vie grâce à ma photographie, mon éducation artistique et en produisant des œuvres d’art de qualité qui transpercent les fenêtres à travers les murs. Après des études supérieures en anthropologie culturelle, j’ai combiné enseignement, recherche, journalisme et photographie.  Je me concentre maintenant sur la photographie et l’éducation artistique pour apporter une touche de beauté dans la vie de chacun.

Je suis basé à Montréal, Canada, où je dessert le nord-est du continent. Je connais aussi le chemin de l’aéroport et je serais heureux de prendre un vol là où vous avez besoin de moi. J’ai hâte d’avoir de vos nouvelles à l’avenir.


SAMUELLE ROUSSEAU-LAMONTAGNE

Ma démarche artistique est ancrée dans la matérialité. Mon approche formelle est une tentative de partager une sensibilité et un imaginaire alimentés par l’observation du corps humain, de la nature et des matériaux. Mon travail est également inspiré par les sciences biologiques qui me permettent de comprendre et d’entrevoir les fonctionnements du vivant. Mon travail en sculpture et en dessin progresse par une continuelle tension entre l’expérimentation de la labilité de matériaux inusités et l’expression de formes biologiques. L’intérêt est de découvrir les multiples (com)possibilités1 qui s’établissent dans l’interaction entre la flexibilité/résistance des matériaux et l’apparition de formes. L’importance que j’accorde à la recherche au niveau de la forme et de l’expérimentation des matériaux non nobles inscrit mon travail comme une continuité de l’Arte povera et du Postminimalisme.

Ma recherche actuelle consiste à développer une pratique que je nomme « économique du matériau ». Je tente une production artistique dans laquelle toutes les étapes de fabrication consistent à utiliser soit « ce qui reste et qui a été jeté », soit ce qui peut être réutilisable à « l’infini ». Je joue donc deux rôles dans mon rapport avec la matérialité : la glaneuse qui amasse et rassemble des fragments épars ; l’alchimiste qui observe et expérimente le matériau sur le plan esthétique et plastique.

Je glane en particulier des fragments organiques végétals et animals que j’agence, façonne et transforme. (voir images 1à 4, 6) D’autre part, j’investis dans la recherche sur les biomatériaux compostables et réutilisables. Pour l’instant, j’expérimente principalement différentes techniques avec le bioplastique afin d’en faire un matériau viable pour la sculpture. ( voir image 7 et 8) Mon processus de création, qui procède par biomimétisme, est donc, pour moi, une manière d’aller à la rencontre de la nature par un rapport intime avec la matérialité. Cet ancrage dans l’expérience de la matérialité poursuit d’ailleurs une croyance que l’expérience esthétique vécue participe constamment à transformer notre rapport au monde. Conséquemment, lors de la conceptualisation et la réalisation de mes oeuvres, je réfléchis à l’expérience esthétique comme possibilité de provoquer chez le spectateur une rencontre avec la nature. Une nature qui serait perçue à la fois de l’intérieur et à l’extérieur de soi et qui partagerait une même réalité, une même vitalité.

Formellement, mes stratégies ont souvent été de représenter des formes qui se répètent dans la nature pour les réinvestir dans la réalisation d’hybrides : humain-animal, corps-objet, humain-végétal. De cette manière, j’invite le spectateur à se projeter et à se reconnaitre dans l’autre, et dans l’étrange. Ainsi je tente de déconstruire une pensée dichotomique et dualiste séparant l’humain de la nature, mais aussi séparant l’esprit de la matière.

1 Le mot compossibilité réfère aux possibilités par rapport composition entre multiples éléments.


ARCHIE S. REID

Que veut dire transcender l’humanité pour des individus qui se voient refuser l’identité première d’humain?

Quelle poésie est possible  dans nos relations interpersonnelles et intrapersonnelles et comment peut-on en tirer résilience? 

Quels sont les pouvoirs à reprendre et à remixer pour les adapter à un monde plus qu’humain? Comment sortir de nos systèmes dystopiques vers de futures harmonies? Dans nos plus petits dénominateurs communs, où sont nos zones de liberté?

Je suis un artiste-collagiste des hybridités. Je mélange le collage et les techniques mixtes. Je fais entrer en relation mes perceptions par un processus qui exige une ouverture à une transformation personnelle, une mutation réflexive. J’utilise la photographie expérimentale, les arts technologiques, les arts performatifs et les arts sonores. Dans mes explorations, la photographie devient peinture. Le son devient danse. La poésie devient flux de données. La peinture devient photographie. La danse devient son. Les flux de données deviennent sortilège. Je développe donc des techniques créatrices de synesthésie (de résonnances entre les sens perceptionnels), forme de mutation cybernétique. Je m’engage dans une réflexion quant aux transformations politiques possibles qu’elles opèrent au sein des corps (et leurs positions relationnelles entre elles), ainsi que leurs résiliences comme outil de liberté.

Mon intérêt de prédilection reste les signaux perceptionnels provoqués et leur métamorphique de guérison intra- et interpersonnelle. En laissant vivre et évoluer mes expériences. Elles se retournent sur elles-mêmes, elles se mordent la queue. Les photographies que je t’ai fait parvenir sont des photographies qui hybrident les médiums photographiques entre eux. La dernière photo est une peinture augmentée par la vidéo que je photographie par la suite. Les autres travaillent la superposition soit par la peinture sur vitre, soit par l’impression numérique sur des tirages argentiques réalisés en chambre noire sans caméra. La superposition est un élément important dans ma pratique, car ellecréés par ces espaces et mon rapport à la santé mentalepar ces espaces


SUZANNE VIÉ

Ma pratique s’articule autour de la notion du paysage et explore la dynamique relationnelle de différents écosystèmes nordiques. Mes œuvres se déclinent par le biais de la peinture, la sculpture et l’impression numérique et les trames sonores s’ajoutent à mon travail pour décrire de nouveaux environnements qui suggèrent la complexité de la relation de l’humain avec son environnement.

Ma recherche-création amorce une phase inédite où je récupère, collectionne, et ordonne des matériaux ayant déjà une histoire et issus d’une anthropologie personnelle de territoires vécus.  De façon lente et exhaustive, je rassemble, j’identifie et je décompose en utilisant des outils domestiques. Par des méthodes inspirées de la géologie, je les réorganise sous forme de stratification, avant d’extraire une nouvelle matérialité.

Intéressée depuis toujours au graphisme, à la géométrie ainsi qu’aux rythmes qu’ils génèrent dans une composition, je manipule la sérialité. Elle se note dans mon travail par des séries ordonnées, qui cherchent à produire le caractère immersif d’une œuvre (Cynthia Daignault). Par l’accumulation et la répétition de multiples composantes, j’entremêle les formes abstraites et géométriques afin qu’elles organisent une harmonie. Par les matières, les motifs, les lignes qui s’imbriquent et s’agencent, je tente de reproduire le mouvement spontané d’un ensemble inextricable, façonné sur un temps long, en harmonie avec la notion d’anthropocène.

Habitée par les forêts laurentiennes de mon enfance où isolement et résilience étaient de mise, je réagis à mon environnement au rythme d’une attention soutenue qui veille l’improbable. Dans mes recherches, je recueille et capte des données photographiques, sonores et matérielles en fonction de points de vue d’équilibres visuels, séquentiels et rythmiques propres aux transformations de l’écosystème dans lequel j’évolue. Cette manière d’être au monde, de saisir par les sens le territoire nordique est pour moi une rencontre nécessaire à la compréhension objective de mon écosystème. Elle donne le ton, la perspective qui inspire la transformation de l’imagerie. En atelier, cette documentation se décale; le temps et l’espace s’entremêlent et déportent la « réalité vers l’imaginaire » (Peter Doig) et donne pouvoir aux idées.

La notion d’anthropocène demeure vaste et imprévisible. Elle rend solidaire l’espace où l’infiniment grand se rapproche de l’infiniment petit. Elle permet de déployer le terrain du corps à l’espace, celui de l’imaginaire au temps. Elle est actuelle, jusqu’à la fin.

Ma pratique artistique explore la dynamique relationnelle de l’écosystème à l’ère de l’anthropocène. J’utilise un processus créatif propre à mes études en design pour tenter de résoudre cette problématique dans ma peinture de paysage.

Alliant art et design, la sérialité et le motif correspondent à des outils stratégiques que j’utilise actuellement pour traduire l’écologie et la productivité. Par la régularité, la répétition, l’agglomération présentent à la fois dans la nature et dans l’activité humaine, je vise une unité inextricable, en harmonie avec la notion d’anthropocène.

Habitée par les forêts laurentiennes de mon enfance où l’isolement était de mise, mon travail de peinture reproduit des univers où la présence humaine est perceptible sans jamais être réellement observée. Présence et absence s’intercalent ainsi, formant des paysages où les éléments organiques et humains sont interdépendants.

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